D’ORIGINE ITALIENNE, GIOVANNA DE LUCERNO EST UN DES NOUVEAUX VISAGES DU MANNEQUINAT. ELLE EST ENCADRÉE SUR LE PLAN PROFESSIONNEL PAR LE MANNEQUIN INTERNATIONAL OM LOMBARD. À LA BEAUTÉ TROUBLANTE, GIOVANNA DE LUCERNO CONTE SA PASSION POUR LA MODE ET SES SOURCES D’INSPIRATION.
Étudiante en lettres, Giovanna De Lucerno, mannequin, possède ce beau regard et visage qui ne passent certainement pas inaperçus.
Avec ses yeux bleus, son minois raffiné, telle une starlette des années d’or hollywoodiennes, elle est à la fois sublime, glamour, séduisante et subtile.
« Petite, je me sentais étrangement attirée par le fabuleux univers de la mode, la danse, les défilés et les photoshoots », expliquet- elle. Posée, perspicace tout en sachant se mettre en valeur en toute discrétion, la jeune femme fait état de ses premiers pas sur le « ramp ».
UNE VOIE TRACÉE
Les yeux illuminés, elle parle de cette passion qui remonte à sa tendre enfance. Adepte du baratium, à 6-7 ans, elle voyait déjà son destin tout tracé.
« Je savais déjà que c’était ma voie. La beauté m’a toujours fascinée », dit-elle. Aujourd’hui, encadrée par Om Lombard, mannequin international, Giovanna De Lucerno fait partie d’un groupe d’élite de cinq modèles.
Ainsi, son rêve se réalise en décembre dernier grâce au lancement du magasin « Faith » de Nalini Aubeeluck. « J’ai fait l’ouverture en compagnie de la Miss Maurice 2008, Anaïs Veerapatren. »
La jeune femme fera aussi une apparition dans le film bollywoodien « Break Ke Baad » aux côtés d’Imraan Khan. Loin de cette image de pin-up qu’elle arbore, Giovanna De Lucerno aborde avec lucidité sa notion de la beauté.
La question lui titille l’esprit : « Qu’est-ce que c’est la beauté ? » L’air inspiré et sur un ton sincère, elle clame haut et fort : « Pas besoin d’être belle pour être mannequin et encore moins mannequin pour être belle ! La beauté ? Ce n’est qu’un reflet.
Je crois sincèrement que tout le monde est beau à sa manière », raconte-t-elle. Réprouvant d’être cataloguée comme un simple mannequin, Giovanna De Lucerno se considère comme un modèle glamour, chic et sensuel.
« Je refuse catégoriquement de prêter mon image à des photos dénudées ! La sensualité peut être autant présente au travers d’une robe fendue que sur un bikini.
Je ne veux surtout pas tomber dans la bassesse ou la vulgarité. Au contraire, j’opte pour le côté glamour et chic de la mode », explique-t-elle.
PLUS QU’UN MÉTIER …
Et le mannequinat ? Ce métier est bien trop souvent pris à la légère selon la jeune femme. Le mannequin a un véritable rôle.
« Ce n’est pas de tout repos d’être mannequin, cela implique de grandes responsabilités. En tant que mannequin, on oublie bien souvent qu’on doit être avant tout des exemples mais surtout se faire respecter. »
L’air concentrée, elle poursuit : « Quand on est encore jeune et qu’on fait ce métier, on a tendance à négliger l’essentiel pour sombrer dans la banalité. Pour ma part, en tant que jeune mannequin de 18 ans, je suis humble et sans grosse tête.
Bref, la notoriété doit engendrer un comportement exemplaire et la reconnaissance de ceux grâce à qui on est plus reconnu. » Pour elle, le mannequin doit jouer, interpréte mais malheureusement à Maurice, les modèles manquent de formation.
« PAS BESOIN D’ÊTRE BELLE POUR ÊTRE MANNEQUIN ET ENCORE MOINS MANNEQUIN POUR ÊTRE BELLE ! LA BEAUTÉ ? CE N’EST QU’UN REFLET. JE CROIS SINCÈREMENT QUE TOUT LE MONDE EST BEAU À SA MANIÈRE »
Pour être crédible, il faut y croire ! » Giovanna De Lucerno raconte qu’il est nécessaire d’arriver à valoriser le rôle du modèle dans la publicité.
« Comme un acteur, le mannequin a un scénario et des réunions pour savoir comment s’adapter à la situation. Il faut vraiment valoriser la fonction des modèles à Maurice et responsabiliser les gens sur l’importance du professionnalisme du mannequinat. »
Et d’ajouter qu’elle veut représenter des marques auxquelles en toute honnêteté elle s’identifie. Côté projets, Giovanna De Lucerno fera ses débuts en Asie en juin prochain pour une grande marque.
Elle vient aussi de signer un contrat pour représenter la nouvelle ligne de vêtements « Om my God » par Om Lombard qui vient de s’ouvrir à GBS Plaza à Grand-Baie (www.omlombard.com).
Et sa grande inspiration, elle la puise aux côtés de sa petite famille et de ses amis. Et de conclure : « Ma famille, mon monteur ; la mode, mon carburant. »
L’air concentrée, elle poursuit : « Quand on est encore jeune et qu’on fait ce métier, on a tendance à négliger l’essentiel pour sombrer dans la banalité. Pour ma part, en tant que jeune mannequin de 18 ans, je suis humble et sans grosse tête.
Bref, la notoriété doit engendrer un comportement exemplaire et la reconnaissance de ceux grâce à qui on est plus reconnu. » Pour elle, le mannequin doit jouer, interpréte mais malheureusement à Maurice, les modèles manquent de formation.
« PAS BESOIN D’ÊTRE BELLE POUR ÊTRE MANNEQUIN ET ENCORE MOINS MANNEQUIN POUR ÊTRE BELLE ! LA BEAUTÉ ? CE N’EST QU’UN REFLET. JE CROIS SINCÈREMENT QUE TOUT LE MONDE EST BEAU À SA MANIÈRE »
Pour être crédible, il faut y croire ! » Giovanna De Lucerno raconte qu’il est nécessaire d’arriver à valoriser le rôle du modèle dans la publicité.
« Comme un acteur, le mannequin a un scénario et des réunions pour savoir comment s’adapter à la situation. Il faut vraiment valoriser la fonction des modèles à Maurice et responsabiliser les gens sur l’importance du professionnalisme du mannequinat. »
Et d’ajouter qu’elle veut représenter des marques auxquelles en toute honnêteté elle s’identifie. Côté projets, Giovanna De Lucerno fera ses débuts en Asie en juin prochain pour une grande marque.
Elle vient aussi de signer un contrat pour représenter la nouvelle ligne de vêtements « Om my God » par Om Lombard qui vient de s’ouvrir à GBS Plaza à Grand-Baie (www.omlombard.com).
Et sa grande inspiration, elle la puise aux côtés de sa petite famille et de ses amis. Et de conclure : « Ma famille, mon monteur ; la mode, mon carburant. »