Om LOMBARD : Master of Ceremony for Shreya GHOSHAL Live CONCERT – Le Mauricien – 31/3/2013 MAURITIUS

After MAURITIUS Black Saturday the 30/3/2013, the Live CONCERT of Shreya GHOSHAL was postponed to Sunday 31/3/2013.
Not easy to Host such a WONDERFUL PERSON and ARTIST when our little country lost 11 people in Floods.
But, As Om LOMBARD says on Stage, SHOW MUST GO ON!

Après Pankaj UDHAS et ses frères lors de la tournée Teen Mausam à MAURICE en 2011 ( Om LOMBARD: Special Guest and MC for Pankaj UDHAS’s UPCOMING CONCERT ” Teen Mausam”. The LEGENDARY WORLD BEST GHAZAL SINGER in MAURITIUS the 17/9/2011), Om LOMBARD revient sur scène, au lendemain des inondations meurtrières qui ont durement frappées l'Ile MAURICE le samedi 30/3/2013, pour présenter LA STAR actuelle des chanteuses Indiennes, le public s'est déplacé en masse pour ce Concert de plus de 2 heures organisé par SPELMEDIA et Mr Shailen Sookha,dans la grande salle du Centre Swami Vivekananda à Pailles. Intégralité de l'article du journal Le Mauricien du 5/4/2013. "Malgré la catastrophe qui a frappé le pays samedi dernier, le public s’est déplacé en grand nombre dimanche pour assister au concert de la chanteuse indienne Shreya Ghoshal au centre Swami Vivekananda à Pailles. Le concert prévu pour samedi soir a été renvoyé à dimanche à cause des pluies torrentielles qui se sont abattues sur Port-Louis. Avec sa voix divine, l’artiste a vite dissipé le désarroi et la tristesse qui se lisaient sur les visages de ses nombreux fans, visiblement choqués par la tragédie humaine de samedi. Shreya Ghoshal, superbe et généreuse, a su être drôle et émouvante avec la même aisance qui a fait craquer ses admirateurs l’année dernière au J & J Auditorium. Elle a d’ailleurs reconnu certains fans qui l’avaient ovationnée en 2012. Plusieurs de ses chansons populaires ont été reprises en chœur par le public encouragé par une artiste, très communicative et rodée à ce jeu. La chanteuse indienne a, au début du concert, exprimée sa tristesse devant la violence des inondations. Étant une habituée de Maurice, elle considère que le pays ne méritait pas cela et souhaite que ce genre de tragédie ne se répète pas. Elle a présenté sa sympathie aux familles endeuillées et a dédié une prières Allah Tera Naam aux victimes des inondations. La première partie du concert de Shreya Ghohal a été marquée par des chansons émouvantes et des ballades mélancoliques aux mélodies imprenables. Après l’entracte, la chanteuse a interprété des morceaux émouvants. Le public n’a pas attendu longtemps pour savourer les notes de Teri Meri de Bodyguard. Entre chansons d’amour, passages instrumentaux et humour, les airs captivants se sont envolés, dégageant fantaisie et passion. Le grand mérite de cette chanteuse est d’avoir apporter un peu de chaleur aux Mauriciens plongés dans la tristesse. Le moment fort de ce récital a été l’interprétation de la chanson Zubeida Loto Ke Jai du groupe mauricien, Bhojpuri Boys. Une chanson qui lui a été recommandée par Shailen Sookha, le directeur de Spelmedia. Avec Abhi Abhi de Jism 2 qu’elle a interprété pour la première fois sur scène et Jadu Hai Nasha Hai qui figure dans la bande originale de la première version de film, l’on a assisté à une grande messe qui alterne passages de ferveur brûlante et moments de pure tendresse. Tere Mast Mast Do Nain, Agar Tum Mil Jao, Piya Bole, Mil Jao, Piyu Bole, Piya O Re Piya, Mashallah et Saans sont les morceaux qui ont conquis les spectateurs. Elle a aussi interprété en duo avec le chanteur Hrishikesh Ranade, gagnant de Sa Re Ga Ma Pa, Marathi Naino Ke Sapna de Himmatwala, chanson très populaire des années 80. Après l’entracte, Shreya Ghoshal a changé de look avec un chemisier et un pantalon noir pour enflammer la salle avec Balma, Oh la la, Radha et Chikni Chameli. La salle s’est alors transformée en discothèque, avec certains se mettant devant la scène pour danser. On a aussi pu voir l’artiste se trémousser sur les notes de Mashallah avec une grande aisance. Dans le cadre des 100 ans du cinéma, la chanteuse a rendu hommage à son idole Lata Mangeshkar et à Rafi. Elle a terminé son concert avec le morceau Bairi Piya de Devdas, titre qui a permis à l’artiste de décrocher son premier Filmfare Awards. Malgré les difficultés, Shailen Sookha et ses sponsors ont réussi le pari d’organiser un deuxième concert de Shreya Ghoshal en moins d’un an. Comme l’a si bien souligné l’animateur Om LOMBARD, the SHOW MUST GO ON. Une minute de silence en hommage aux victimes Une minute de silence a été observée avant le début du concert de Shreya Ghoshal à Pailles en vue de rendre hommage aux victimes des inondations de samedi. Les pluies torrentielles ont poussé Spelmedia à renvoyer le concert, prévu samedi, à dimanche à midi. Shreya Ghoshal a honoré son contrat quelques heures avant de prendre l’avion pour l’Inde en gratifiant le public d’un concert de haute facture. La vedette indienne s’est dite très attristée par les événements tragiques. Les Mauriciens avec leur moral de fer et leur grand cœur, a-t-elle soutenu, arriveront à surmonter cette épreuve. « C’est la première fois de ma vie que je suis témoin d’une catastrophe de cette ampleur… » a-t-elle déclaré." Le Mauricien - 5/4/2013

Om LOMBARD : Poetry for ABOLITION of SLAVERY Day – 1/2/2013 MAURITIUS

National Day of the Abolition of Slavery 2013 in MAURITIUS : Great Cause, Little Poetry Homage by Om Lombard

Pour cette Journée de l'Abolition de l'Esclavage, si importante dans l'histoire et la culture de l'Ile Maurice, j'ai tenu à rendre Hommage avec mes mots à la Liberté.. La Liberté d'être Heureux! Om "SECRETS d'Om LIBRE" Veiller sur la Lumière Intérieure, Cette Flamme si belle et fragile qu'un Souffle Malheureux peut éteindre a jamais... S'Aimer est comme Vivre, Respirer, Penser, Manger et Boire... S'Aimer est une absolue nécessité a notre épanouissement... S'Aimer sous toutes ses Formes, toutes ses Couleurs et toutes ses Valeurs... Danser et Chanter l'Amour... Sans détour, sans réfléchir... Être nous mêmes, et bien d'autres a la fois... Être Solidaires, se préoccuper et tendre la main... Enfin laisser ces démons que sont l'Ego et la Suffisance en dehors de nos Cœurs... Et retrouver de Vraies Valeurs... Celles, et celles seules... Qui nous mèneront au Bonheur... D'être un Homme Libre et Heureux. Om Lombard

Om Lombard : After Modelling, Bio Baking, Real Estate, 2013 will turn me Writer! Defi Quotidien – 01/2013 MAURITIUS

“Life is moving…
So am I!
Feel to write for myself since long, 2013 will be the perfect year for it”
Om LOMBARD

Om Lombard, mannequin très connu, se réinvente et se met à l’écriture. Si son physique a toujours été sa carte de visite, il veut aujourd’hui qu’on le découvre sous un autre jour, celui de l’écrivain. Son premier livre devrait être publié en juillet. Il aime la lecture et, de surcroît, l’écriture… et Om Lombard, mannequin qu’on ne présente plus, a décidé de mettre sa passion pour l’écriture sur papier, en publiant un roman, qui porte le titre « Des Jours et Des Nuits ». « Le livre est en préparation et devrait être prêt au mois de juillet. Pour moi, c’est un moyen de vivre cette passion qui était ancrée en moi», fait ressortir Om Lombard. Pas question, toutefois, d’arrêter le mannequinat, ce métier qu’il affectionne depuis plus d’une quinzaine d’années. Mais de concert avec ce qu’il sait faire le mieux, Om Lombard va se mettre à l’écriture de son roman. « Après avoir utilisé mon physique comme carte de visite depuis des années. Je veux maintenant m’attaquer à des choses plus profondes. Et de retourner à la source », confie Om. Ainsi son premier livre sera un livre qui mêlera l’amour et l’aventure. L’histoire, se déroule à Pondichéry et à Paris. « C’est l’histoire de deux hommes, aussi différents que peuvent l’être le jour et la nuit, qui vont pourtant se retrouver liés à la plus incroyable destinée qui soit…Une femme partagée et un enfant mystérieux les mettront au pied du mur, et seul l'un d'entre eux en sortira vainqueur», raconte le synopsis. Pour Om Lombard, ce livre démontrera que « les choses simples ne sont pas aussi sim­ples que cela ». Et s’il y met toute son ardeur, c’est parce que Om est un passionné de lecture et d’écriture. « Je m’adonne à l’écriture et à lecture quotidiennement. Et cela depuis que je suis tout petit. Quand j’étais jeune, je n’avais pas de tablette tactile ou de console de jeux et la lecture était ce qu’est Facebook aujourd’hui. Et en grandissant je n’ai pas abandonné la lecture et je me suis mis à l’écriture. J’ai écrit sous différents pseudonymes dans les magazines, les journaux, entre autres et aujourd’hui je souhaite mettre ma passion sur papier », raconte Om Lombard. Ainsi, à travers son livre, il souhaite démontrer que les choses simples ne sont pas toujours aussi simples. D’ailleurs, pour mener à bien son projet, il fera le déplacement incessamment pour Paris, afin de mieux situer l’histoire de son roman. Un roman qu’il souhaite à tout prix dévoiler au monde entier et pourquoi pas l’adapter au grand écran. « Je souhaiterais que l’histoire soit reprise sur grand écran. Mais j’attends de connaître comment le public va réagir », précise Om Lombard. Om Lombard… un mannequin qu’on ne présente plus Il a lancé sa marque de vêtements, « Om my god » et gère également une boulangerie BIO à Maurice, La Provençale. Pourtant à la base, son métier c’est le mannequinat. Un métier qui fait bien son bonheur depuis plus d’une quinzaine d’années, tant au niveau local qu’international.. Mais cela ne s’arrête pas là pour ce top model d’origine italienne. Il fait la navette entre La Réunion, où il a une activité immobilière et Maurice où il a repris le métier de son père : artisan boulanger. Il est d’ailleurs débout à l’aurore pour être devant les fourneaux pour la fabrication de ses pains artisanaux qui sont vendus dans sa boulangerie. Pourtant, quand il a posé ses valises chez nous, il y a 34 ans, rien ne le destinait à une vie si remplie. C’est en 1979 qu’Om et sa famille, venus en vacances à Maurice, décide de s’y installer. Le jeune homme poursuit alors ses études au Lycée LaBourdonnais à Curepipe. En 1982, la famille d’Om décide de découvrir l’Inde. Et là, c’est le coup de foudre. La famille s’y installe pour quatre années, avant de regagner la métropole française. Om poursuit des études de commerce et de droit par correspondance. À l’âge de 19 ans, c’est un tout autre chemin que Om va découvrir, celui du ‘catwalk’. Et comme il a de la famille dans le monde de la Mode à Singapour, la tâche n’a pas été si dure. Mais comme le mannequinat ne fait pas vivre durablement son homme, alors de pair avec son métier de Top Model, il exerce le métier de marchand de biens à la Réunion et s’adonne à d’autres activités. Article written by: Nathalie Mungur from Le Defi Quotidien

Om LOMBARD – New Year’s Wishes – 31/12/2012 MAURITIUS

After escaping the “End of the world” (which was not the case for the media attention it gathered), it is now time to turn over the Page 2012 to welcome the New One 2013 with much HOPE!

Chers amis!
2013?
Tout d'abord bien sûr une excellente occasion de faire la FÊTE et d'oublier - temporairement - l'année  qui se termine, difficile pour la plupart d'entre nous, tant sur un plan personnel que communautaire et professionnel!
2013 ne s'annonce, au dire des médias et des spécialistes, pas meilleur et même voir pire...
Mais, présenter ses voeux sans une note d'espoir n'étant pas possible pour moi, je pense que chacun peut par ses actions, son regard sur l'autre, sa main tendue et un soupçon de SOLIDARITE supplémentaire, faire un pas en avant vers une vie plus agréable...!
En ces temps de CRISE, recentrer ses priorités et ses objectifs me semble INCONTOURNABLE car enfin de compte et avec une note d'humour, ce n'est pas la marque ou le modèle de téléphone portable qui compte, c'est de pouvoir COMMUNIQUER!|
Chaque action comme soutenir de près ou de loin une NGO, une Association de Quartier ou même seulement récupérer ses vieux vêtements que l'on ne met plus et en faire profiter les plus démunis, penser à ne pas gâcher et respecter notre belle planète, non seulement nous rendra PLUS HEUREUX mais rendra aussi les AUTRES PLUS HEUREUX...
Quand à moi, en plus de mes 'activités habituelles', et après avoir patiemment attendu LE MOMENT, je viens de démarrer l'écriture d'un roman que j'espère publier avant JUILLET 2013... Vous en serez les premiers avertis...
Bon, je terminerai en vous souhaitant à tous et à toutes: une BONNE SANTE, car en 2013 comme en 2050, sans une bonne santé... Pas de BONNE ANNEE!
Om LOMBARD   ओम लोम्बारड
About photo: Om LOMBARD for BOURBON PARAPENTE Reunion 12/2012

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Om LOMBARD for Défi Saturday: “BIO Foods, what’s the REAL COST?” 14/7/2012 – MAURITIUS

Om LOMBARD’s view about Bio Foods in Mauritius in 2012

­­­­­La vente des produits bios connus pour ne contenir aucun produit chimique, progresse d’année en année, mais ces produits demeurent inaccessibles au grand public. D’où la demande des importateurs pour un assouplissement des procédures afin qu’ils puissent importer ces produits en plus grand volume. Ce qui permettrait de faire baisser les prix. Nous sommes en 2004. Axios Health Shop, le pionnier dans la vente des produits bios à Maurice, voit le jour. Huit ans plus tard, la compagnie a bien progressé. Elle propose actuellement 350 références. « Nous aurons un nouveau stock de produits d’ici fin août ou début septembre de nos fournisseurs en Europe et en Afrique du Sud. Ce qui nous fera plus de 500 références », indique Jean-Luc Willequet, directeur d’Axios Health Shop. Axios Health Shop est loin d’être le seul sur le marché à proposer des produits bios. D’autres importateurs se sont lancés dans le domaine. D’ailleurs, dans les grandes surfaces, plusieurs rayons sont remplis de ce type de produits. On y trouve des biscuits, des pâtes, de la marme­lade, du jus, de la compote, du riz, du yaourt… Seul hic, ces produits demeurent relative­ment chers. « Ils sont entre 20 et 30 % plus chers dans nos magasins », indique Jean-Luc Willequet. « Entre deux et cinq fois plus chers dans les grandes surfaces », renchérit Nicolas Kan Wah, ‘Manager’ chez London Way. Progression des ventes Ce qui n’empêche pas les ventes de progresser. « Le marché du bio à Maurice est en progression depuis ces derniers cinq ans. Les rayons bios se sont élargis. Toutefois, le fait que ces produits sont importés en petite quantité fait qu’ils sont plus chers. Et la crise ne vient pas arranger les choses », déplore Om Lombard, président de l’Association Bio Consom’acteurs à la Réunion. Il est également responsable de la Boulangerie La Provençale à Maurice qui est spécialisée dans la fabrication artisanale de pains et brioches à base de farine 100 % bio. Om Lombard pointe du doigt les opérateurs qui, selon lui, « positionnent délibérément les produits bios comme du haut de gamme ». « Cela freine l’évolution de ces produits alors qu’en Europe il y a moins de 10 % d’écart en termes de prix de vente entre les produits bios et produits non bios sur un panel de 50 produits de grande consommation. Or, à Maurice, l’écart est très important. À titre d’exemple, la farine bio est quatre fois plus chère que la farine non bio. » Du côté des importateurs, on donne une autre explication sur la cherté de ces produits. « C’est très compliqué d’importer des produits bios à Maurice. On demande beaucoup de paperasses alors que ce type de produit est bon pour la santé et l’environnement. D’ailleurs, la société française Euro-Nat, qui est notre principal fournisseur, dessert 70 pays dans le monde. Si c’est bon pour le Canada, la Suède,… pourquoi pas à Maurice ? », se demande Jean-Luc Willequet. Comment faire alors pour que les produits bios soient plus accessibles ? Jean-Luc Willequet réclame un assouplissement des procédures d’importation. Suttyhu­deo Tengur, président de l’Association for the Protection of the Environment and Consumers (APEC), estime que tous les produits ayant trait à la santé auraient dû être exemptés de taxe. « Il revient à très cher à l’État quand des gens sont malades. Il vaut mieux prévenir que guérir ! » D’autant plus que les mauvaises habitudes alimentaires des Mauriciens sont reflétées par la hausse des chiffres des  gens souffrant du diabète ou du cholestérol. Un avis que partage Om Lombard. « Il faudrait sensibiliser davantage les gens sur le lien direct entre l’alimentation et la santé. Notre meilleur médicament c’est l’aliment. La santé se traite en amont pas en aval. Il faut manger mieux ! » conseille-t-il. Pour Nicolas Kan Wah, il suffit de faire preuve de patience. « Ce marché est encore à ses débuts. Quand il y aura plus de volume, les prix vont baisser. Dans un an et demi, la vente des produits bios devrait être considérable ». Attendons voir ! La prudence est de mise Certains produits dont les étiquettes comportent le label « bio » ne le sont pas forcément ou alors ne le sont pas à 100 %. Comment les identifier ? « Si le consommateur veille à trouver une certification bio sur le produit ou s’il s’attarde quelques minutes à simplement lire les ingrédients d’un produit qui n’a pas la certification – parfois par manque de capital, de bons producteurs ne peuvent pas se payer la certification –, il ne pourra pas faire d’erreur », soutient Diane Desmarais. Il faut aussi faire ressortir qu’à Maurice, les certifications AB et Ecocert sont les plus connues. Tengur : « A quand une législation » Pour Suttyhudeo Tengur, il décrie le fait que les produits bios ne tombent sous aucune législation à Maurice. « On dénombre une centaine de grandes surfaces dans le pays et chacune d’elles propose un minimum de dix à quinze commodités bios. Ces produits commencent à devenir communs même s’ils sont vendus en petite quantité. Il y aurait dû avoir une loi d’autant plus que certains des articles classifiés « bios » sont loin de l’être. C’est un risque pour la santé publique ! » martèle-t-il. Et Jean-Luc Willequet de renchérir : «  Il faudrait que le ministère de la Santé, les nutritionnistes et les sociétés spécialisées dans les produits bios se réunissent chaque mois pour des échanges sur comment améliorer les habitudes alimentaires des Mauriciens et de là, venir avec un cadre légal ». « Le label bio est surexploité. Il faudrait venir avec une certification bio pour les producteurs locaux », recommande, pour sa part, Om Lombard. Diane Desmarais, nutritionniste : « Ils ne contiennent pas de toxines » La nutritionniste Diane Desmarais est catégorique. « Les produits certifiés bios, ou organiques, ont l’avantage de ne pas contenir de toxines pour l’être humain, c’est-à-dire des résidus ou des produits chimiques comme ceux issus du pétrole, des engrais chimiques, des pesticides », explique-t-elle. Des exemples de produits chimiques reconnus comme nocifs sont les parabènes, les pesticides, les « petro-chemicals », entre autres. « Leur effet sur la santé est très néfaste car ils sont pour le moins des allergènes et pour le pire cancérigènes. C’est pour cela que les produits bios, n’étant pas supposés contenir ces substances, sont nettement préférables », indique-t-elle. Selon Diane Desmarais, « le consommateur a nettement plus de risque en achetant les produits dit « normaux » aux étiquettes attirantes et prometteuses, mais qui sont totalement mauvais pour la santé ». Elle réclame également la prudence en ce qu’il s’agit des produits dits « naturels ». « Il faut faire attention et lire les ingrédients  car le terme « naturel » est vague et peut être attribué à un produit qui contient une partie d’ingrédients naturels même si le reste consiste d’ingrédients chimiques. Il faut donc simplement vérifier davantage dans ce cas », recommande-t-elle.  

Om LOMBARD for Défi Saturday: “Mannequins Hommes à Maurice, une Aventure Hasardeuse” 7/7/2012 – MAURICE

Om LOMBARD – Model Men in MAURITIUS in 2012, Flop or Top?

Le nombre de mannequins hommes est en hausse malgré que le marché soit restreint. Le nombre de mannequins hommes est en hausse malgré que le marché soit restreint.
Quand on parle de mode, de beauté, de mannequins, on pense généralement aux femmes. Pourtant, ce monde glamour et bling bling n'est pas réservé qu'aux femmes... Bien au contraire ! Si les hommes embrassent davantage ce métier, l’avenir s’annonce sombre pour eux.
Nous n’avons pas de Satya Oblet ou encore de Caco Ricci chez nous. Certes ! Toutefois, le monde du mannequinat masculin, à Maurice, compte de nouveaux visages. Beaux, bien bâtis, une plastique de rêve, ils sont quelques centaines à avoir choisi ce métier. Mais les 'new faces' disparaissent assez vite. Certains mannequins ne connaissent pas de carrière fulgurante, mais parviennent à vivoter parce qu’ils correspondent à une demande constante. Enfin, une poignée de mannequins parvient à s’imposer au fil du temps, en se construisant une notoriété.  À l’instar de Roshan Hassamal, un jeune de 27 ans. Cela fait trois ans depuis qu’il côtoie le monde de la mode. Entre des défilés, des séance photo, des pubs, Roshan Hassamal s’est frayé un chemin dans cet univers doré. « Je n’ai jamais eu peur de la caméra. Une agence m’a contacté pour me demander si je n’étais pas intéressé à faire du mannequinat. Je n’ai pas hésité une seconde. Petit à petit, j’ai me suis fait une image et j’en suis fier » raconte le jeune homme. Présentateur d’une émission télé, il est plutôt satisfait de son parcours. Om Lombard, mannequin d’origine italienne de renommée internationale, installé à Maurice depuis son enfance, possède plus de 15 ans d’expérience dans le domaine. Il est aussi très plébiscité. Ce qu’il aime dans son métier, c’est d’être sur scène. « J’aime cette montée d’adrénaline quand je suis sur scène », confie-t-il. Toutefois, même si certains visages se sont démarqués des autres, les mannequins hommes font pâle figure devant leurs homologues féminins. « Il y a plus de travail pour les femmes que pour les hommes dans ce domaine. Il y a plus de magasins vestimentaires destinés aux femmes et les ‘fashion shows’ vont de pair avec », explique Roshan Hassamal. Pour Om Lombard, les hommes ont également pris du temps avant de lancer. « Les garçons sont plus réservés, et c’est une question de culture. C’est un peu difficile de changer la mentalité des gens. Mais petit à petit, on voit qu’il y a une croissance », explique Om Lombard. Demande pas rassurante Augmentation certes, mais la demande n’est pas rassurante. « Le marché est petit. Et avec la crise, mêmes les grosses boîtes ne veulent payer les mannequins comme il se doit. Et à travers Facebook, il est possible de trouver de nouvelles têtes, sans avoir à dépenser gros », confie Om Lombard, qui ajoute qu’en agissant ainsi « c’est la fin du professionnalisme dans ce domaine. » Pire encore, vivre de ce métier n’est pas envisageable à Maurice. Il est considéré comme un job d’appoint qui permet de toucher du doigt cet univers tant convoité, mais qui assure aussi une certaine indépendance financière vis-à-vis des parents pour les jeunes étudiants ou encore arrondir ses fins de mois pour les autres. Ainsi, il est conseillé d’avoir une activité professionnelle principale et faire du mannequinat à temps partiel ou en freelance. Dans la plupart des cas, toucher Rs 1 500 à Rs 2 500 pour un défilé n’est pas suffisant, surtout que les défilés ne courent pas les rues. « Nous sommes obligés d’avoir un autre métier, car d’une part la demande est faible et, comme le marché est limité, voir les mêmes visages devient lassant. Ainsi, les contrats se font rares », explique Roshan Hassamal. Mais est-ce que ce métier à un avenir à Maurice ? Om Lombard est catégorique. Il est grand temps de relever le niveau. « Il est temps pour nous, mannequins ayant une grande expérience, de faire bouger les choses pour redonner à la profession ses lettres de noblesse. Ça commence avec une révision à la hausse des cachets jugés trop faibles et cela en vue de valoriser le métier », précise Om Lombard. Samuel Sagor – L’étoile montante du moment C’est l’étoile montante du moment. Samuel Sagor, 25 ans, ne finit pas d’attirer les regards. On le voit sur les billboards, dans les publicités télévisées, sur les podiums. Samuel est partout. Son atout : son attitude. « Le mannequinat est une question d’attitude avant tout. Il ne suffit pas d’être dans les 12 finalistes de Miss Mauritius pour devenir mannequin. Ce n’est pas du tout cela, il faut savoir être pro » confie Samuel Sagor. Du haut de ses 1m94, Samuel Sagor, ancien athlète national, a fait son petit bonhomme de chemin et se retrouve parmi les mannequins hommes les plus cotés à Maurice. Sa notoriété, il l'attribue à sa façon d’être. « Ce n’est pas juste le fait d’être beau, élégant, faire de belles photos, de la gym et d’avoir des pectoraux. Il faut savoir travailler avec les autres, les comprendre. C’est la beauté intérieure qu’il faut savoir démontrer et, du coup, on arrive à faire des choses magnifiques », confie-t-il. Si son caractère l'a conduit aux sommets, son physique y est aussi pour quelque chose. Métissé, il n’a pas le visage commun et son corps athlétique fait baver ses pairs. Sans oublier que ses 1m94 impressionnent. « Le fait d’avoir été athlète m’aide à entretenir mon corps », dit-il modestement Aujourd’hui, il est très connu, mais c’est loin d’être le monde bling bling qui l’a poussé à devenir mannequin. « C’était en 2006. Je travaillais dans un magasin de vêtements griffés et comme on avait organisé un défilé pour lancer la nouvelle collection, ils m’ont demandé de défiler pour eux. J’ai accepté et tout s’est enchaîné quand j’ai rencontré Pitchoune (Koënig) qui m’a beaucoup aidé » se souvient Samuel. Mais malgré sa notoriété, il est impossible pour Samuel de vivre du mannequinat. Entraîneur personnel de fitness, préparateur de sportifs, il gagne bien sa vie. Le manne­quinat, c’est un passe-temps. « Le mannequinat, je le fais par passion. C’est du fun. Mais ça vous apprend la vie, l’homme, ses qualités et ses défauts. Pour moi, c’est une aventure humaine dans laquelle vous vous jetez en étant mannequin et il faut savoir tenir le coup ».
 

Om LOMBARD for HOPE – NGO’S MPRB CAMPAIGN 6/2012 MAURITIUS

“OBSESSION of a GLANCE of HOPE…”

Om

HOPE by RaviOr – A Jewel for HOPE

CONCEPT by Om LOMBARD

Photographer : Oomar Moidin

Each SILVER COIN “HOPE by RaviOr” bought is a DIRECT PARTICIPATION to HOPE Help for NGO’s MPRB – MAURITIUS

Om LOMBARD collabore par son image avec RaviOr, Artisan Bijoutier bien connu à Maurice au travers du CONCEPT HOPE by RaviOr qui collecte des fonds pour l'ONG MPBR MAURITIUS. Pour chaque Piece en Argent "HOPE" est reversée une somme directement à MPBR. La Pièce "HOPE", originale et de grande qualité, conçue et fabriquée par RaviOr, est disponible dans de nombreux points de vente sur l'Ile Maurice et bientôt dans plusieurs autres endroits du monde dont la Reunion: infos sur le site: www.ravior.com Om et sa Boulangerie BIO La Provencale agissent aussi DIRECTEMENT pour MPRB et ses 350 enfants en distribuant gratuitement chaque semaine des PAINS BIO et de l'HUILE D'OLIVE première pression à froid en remplacement de l'huile de base utilisée, avec un programme alimentaire en cours d'élaboration avec l'équipe de MPRB. L'alimentation étant la première et plus importante étape pour une vie meilleure... D'autres actions sont en cours, TALKS auprès des enfants, des parents afin de changer certaines habitudes alimentaires concernant le sucre et l'huile, souvent sur utilisés, et responsables de bien des maladies.. Lien FB: CLIQUEZ ICI!

Om LOMBARD for GRANDBAIE.MU : “La Fête du Pain au CAUDAN” 05/2012 – MAURITIUS

L’ESPRIT DE LA FETE DU PAIN 2012 by Om LOMBARD, Model and BIO Baker

LES MOULINS DE LA CONCORDE Ltée organisent depuis 1990 jusqu’à 1992 et de 1998 à aujourd’hui LA GRANDE FETE autour du Pain, aliment de base pour une importante partie de la population de notre Belle Terre… Et de notre Belle Ile! La Fête du Pain, rendez vous incontournable, se tiendra sur plusieurs sites et donne rendez-vous aux Mauriciens pour redécouvrir le Pain chez les Boulangers participant à l’opération et dans les grandes surfaces. Des nombreuses écoles y participent également, tout comme les Centre de Lecture et d’Animation Culturelle et des associations diverses. L’aspect festif sera souligné lors des manifestations organisées par les Municipalités (Curepipe,  les 22 et 23 mai et Rose Hill, le 19 mai). Le centre du Caudan restera le point d’orgue de l’événement, les 18 et 19 mai avec des expositions et projections, des démonstrations, des expositions-ventes, des remises de prix et des animations le samedi 19 mai, en particulier pour les enfants. Afin de souligner les formes variées que prend cet aliment quotidien dans le monde, le thème retenu pour l’édition 2012 s’intitule Les Pains d’Ailleurs et sera illustré par une exposition de pains des pays du monde au Caudan. Entre autres participants, le Mannequin Boulanger Om LOMBARD et sa BOULANGERIE LA PROVENCALE de Grand Gaube, Bien connue sur le plan local, Boulangerie utilisant exclusivement de la FARINE BIO ORGANIQUE, seront une fois de plus présents au Caudan les 18 et 19/5/2012 pour nous faire découvrir et gouter leur gamme de Pains Bio au Blé, Seigle et Sarrasin au levain ainsi que leur fameuse BRIOCHE Chocolat sans LAIT ni BEURRE, parfaitement « Diète » et délicieuse, avec des réalisations spéciales pour la FETE du PAIN…      

Om LOMBARD for DEFI Quotidien : “My Hope After French Presidential Elections” 8/5/2012 – MAURITIUS

Om LOMBARD: His Hope after French Elections, are things going to change?

La France célèbre son nouveau président, François Hollande. Nicolas Sarkozy se retire du monde politique en postant sur son wall Facebook : « Soyons dignes, soyons patriotes, soyons Français. Je vous aime – NS ». Quant aux Français vivant à Maurice, ils ne sont pas aussi optimistes du travail qu’abattra François Hollande.
Les attentes sont vastes, estime Joseph Cardella, de l ‘Université Populaire de l’île Maurice. Surtout, face à ce qu'il a entendu dire ces derniers temps. « Il y a un grand écart entre riches et pauvres et la cassure est d'autant plus grande. La situation des gens est de plus en plus précaire. Que Hollande gère la crise », dit-il.  Joseph Cardella mentionne le pilier important soit l’éducation. « Qu’il mette l’accent sur l’éducation, surtout avec la perte d’emploi qu’il y a eu dans le secteur. Que cela se passe mieux au niveau des embauches », déclare le Professeur. Il mentionne que le précédent président a fait des étrangers les bouc-émissaires des problèmes dans la Métropole. « Les étrangers étaient considérés comme la source des problèmes et c’est un vieux problème. Qu’il ne mette pas les gens en conflit. Tout le monde dans le pays doit se sentir bien et doit vivre le mieux possible », dit-il. Pour les secteurs économique et social, le Professeur parle de mieux vivre alors que les gens s’appauvrissent de plus en plus. Les attentes ne sont pas les mêmes des expatriés français vivant à Maurice. Ismahan Ferhat, directrice de Safire, avance qu’elle n’a ni suivi le programme de François Hollande ni le débat. Toutefois, elle reste optimiste que les choses bougent dans le bon sens en Métropole ainsi que dans les DOM/TOM. « Dans le contexte difficile où nous évoluons, et avec la crise, il y a beaucoup d’attentes même au niveau international. Qu’il y ait plus au niveau social et plus de justice. Une politique plus inclusive vis-à-vis de l’intégralité. Qu’il soit un président de tous les Français, qu’il soit de quelconque origine, qu’ils soit Africain ou Maghrébin, entre autres », dira cette dernière. « Qu’il y ait un impact sur la vie des Français au quotidien et qu’il y ait du concret », fait ressortir la jeune femme en mentionnant les innombrables projets des politiciens. Lionel, directeur d’une agence web, est totalement sceptique. « Mes attentes ? Il faut juste espérer qu'il ne plante pas le pays et qu'il ne nous fasse pas trop passer pour des inconscients en Europe... ce sera déjà pas mal», rétorque-t-il. Une opinion partagée par le businessman, boulanger et manne­quin, Om Lombard. « Je ne suis pas très content de ce qui s’est passé. Je n’attends pas beaucoup de lui, parce que je n’ai pas voté pour lui », réplique Om Lombard. Il continuera en faisant ressortir que François Hollande fait souvent référence au règne de François Mitterand. « J’espère surtout que l’on ne retombe pas comme en 1981 parce qu’il fait référence à François Mitterand. Ce sont des années qui creusent des fossés entre la France et les meilleurs en Europe. Il faut forcément du social mais ce n’est pas le pilier principal dans un pays », fait-il ressortir. La situation économique de la France, et plus généralement de l'Europe a conduit le Président SARKOZY à prendre des décisions uniques dans la 5ième République : Modification du Régime des Retraites, de la TVA etc et je pense tout simplement que le nouveau Président ne pourra changer ce qui a été fait par son prédécesseur. D'une façon générale, la plupart de ses promesses ne pourront être tenues, nous commençons à le remarquer puisque il ne peut pas modifier le calendrier Européen malgré ses annonces Poste Electorales! Enfin, soyons POSITIFS, et j'ai personnellement beaucoup apprécié le discours OUVERT et RASSEMBLEUR du Président SARKOZY lors de son souhait de BONNE CHANCE au nouveau Président, ainsi que la main tendue lors de la présentation du 8/5/2012 sur les Champs Elysées. Que le pays aille pour le mieux, c’est du moins ce que souhaite Alain Barois, Chef chez Beachcomber. « C’est une bonne question. François Hollande n’a pas le charisme. Personnellement, je souhaite que cela aille bien pour la France. Ce n’est pas la joie quand on regarde les journaux télévisés. On regarde ce qui s’y passe de loin », commente Alain Barois. Il déclare, tout de même, que Nicolas Sarkozy a pris le taureau par les cornes en faisant bouger certaines choses dans le pays et en retirant la Métropole de son immobilisme.

Om LOMBARD for DEFI Quotidien ” My Look ? My Visit Card!” 20/2/2012 – MAURITIUS

Vêtements, soins esthétiques, coupe ou couleur de cheveux, le look est un atout dont on ne se desserre pas ces derniers temps.

Vêtements, soins esthétiques, coupe ou couleur de cheveux, le look est un atout dont on ne se desserre pas ces derniers temps. Des publicités à gogo, les médias mettent leur grain de sel dans le look que nous avons de nos jours. Pour un look d’enfer, une alimentation saine, des exercices et des soins appropriés sont fondamentaux.
«T’as le look coco… Coco t’as le look... T’as le look qui te colle à la peau…! ». Qui ne connaît pas cette chanson de Valmont Laroche, sortie en 1985 ? Une chanson qui rime bien avec la tendance actuelle. Tout le monde mise sur son look. A la plage, à la maison, dans une soirée, au bureau, les Mauriciens se font beaux pour plaire à soi mais aussi à leur partenaire. Un point de vue que Nadia Li Combaluzier, coiffeur styliste visagiste à Le Picasso, Quatre-Bornes, nous confirme. Elle nous dira que le look prime. « On m'a toujours dit que l’'habit ne fait pas le moine. Mais de nos jours on pourrait répondre qu'il nous aide à entrer dans l'abbé... Oui, aujourd'hui nous vivons dans une nouvelle ère où on dira que le look prime », explique Nadia Combaluzier. Les cheveux, le maquillage, les vêtements sont importants dans notre société. Pour cela, dira Nadia, « il suffit de regarder Facebook  et autour de nous, magazines, etc. et de voir à quel point on aime se montrer avec une belle coiffure, une nouvelle coupe de cheveux, une nouvelle couleur, le tout agrémenté bien sûr de maquillages et de beaux vêtements ». « En sortant de chez moi, je sais que mes clientes se sentent bien, le look dépendra surtout de ce qu’elles veulent. Naturellement simple ou sophistiqué, glamour ou chic, tout ce passe selon l'envie du moment. On pourra suivre la tendance, les collections mais je crois que le look doit être personnalisé», décrit Nadia Combaluzier. Pour Sonia Tylamma, directrice de Happy Seasons, un One-stop shop qui prépare la dame pour une soirée, elle nous dira que cela remonte au temps des temps que la femme prenait soin d’elle. Etant indépendante de nos jours, la femme ne dépend plus de son mari pour se faire plaisir. « Les mœurs ont changé, comparé à nos grand-mères, qui devaient s’occuper de plusieurs enfants, de la maison. On est touché par les médias, les défilés de mode, les produits de beauté, les publicités. La mode touche tous les âges confondus. C’est naturel de prendre soin de soi, d’être bien dans sa peau, que ce soit dans la société ou au bureau », dit-elle. Sonia déclare que la vie de la femme actuelle est assez difficile, car elle travaille et est sur plusieurs fronts à la fois. « Il faut être de bonne guerre pour réparer les dégâts au moral comme au physique. Avoir un enfant, c’est une épreuve. C’est difficile de s’occuper de soi », rétorque la jeune femme. Envie de paraître belle et de plaire à leur partenaire, le look est important. Cela passe généralement par un soin esthétique de haut niveau.  Salinee Beeharee, directrice de la compagnie Endless Beauty qui représente les produits cosmétiques Gosh Cosmetics à Maurice, le confirme. Le look est une chose à laquelle les hommes et les femmes s’attèlent. « Tout le monde vient se soigner. Pas que les jeunes, mais les 40 à 50 ans aussi. Même les hommes viennent pour des soins mais je ne m’occupe que de la gent féminine. Selon mes clientes, c’est pour que leur mari et leur copain n’aillent pas chercher ailleurs. Même au niveau du travail, cela fait bonne impression », dit-elle. Dr Prity Pugo-Gunsam, enseignante chercheur à l’Université de Maurice et spécialiste en Sciences de la Nutrition, explique que soigner son look est certainement très important. Cela paraît être le souci majeur des jeunes d’aujourd’hui.  Mais le “look” ne doit  pas se limiter aux aspects extérieurs et superficiels. Cela ne veut nullement dire qu’il faut être conforme aux mensurations des mannequins et top models; ni être vêtu comme les super stars et ni imiter à tout prix tout ce qui est “à la mode ». « Je pense que soigner son look doit être considéré avec beaucoup plus de subtilité. Ce qui me paraît le plus important c’est de soigner à la fois son corps, sa santé, son image de soi et son âme », explique notre interlocutrice. Pour atteindre cela, il faut avant tout avoir les « outils » de la santé et du bien-être: « Bien savoir comment nourrir son corps selon ses besoins et selon son âge, comment cultiver  des activités physiques, comment pratiquer une bonne hygiène de vie, comment pouvoir se relaxer (yoga , massages, reiki…), comment s’aimer, parce qu’en finalité s’aimer c’est prendre soin de soi et surtout du point de vue nutritionnel ne pas agresser son corps avec des aliments qui nuisent à la santé. Oui, la nutrition a un impact sur notre look », dévoile Dr Pugo-Gunsam. Mon look : ma carte de visite Om Lombard Modèle, boulanger BIO Organique et homme d'affaires, nous dira que son look est son atout. « Étant modèle depuis des années, mon look dépasse une simple envie: mon style et mon apparence physique du moment sont ma 'carte de visite' et je ne sors jamais habillé au hasard, même le style 'négligé' se travaille. La mode est un perpétuel renouvellement», dit-il en souriant. Le look va au-delà de la tenue vestimentaire, l'entretien de son corps. "Un esprit sain dans un corps sain" est au centre des préoccupations de beaucoup de gens. « Dans mon cas, une priorité combinée à l'alimentation Bio et avec une préférence marquée pour les légumes, fruits et protéines végétales », dévoile notre interlocuteur. Il proscrit les produits nuisibles à une jeunesse qui dure. « La consommation régulière de boissons alcoolisées et de cigarettes est aussi une des causes No 1 du vieillissement prématuré de notre corps et donne un coup de grâce à notre look! Dans mon cas, c'est facile: ni l'un ni l'autre. A aucun prix! » dit-il. Pour compléter le tout, le sport est un allié non négligeable. « Des exercices physiques quotidiens, simples, comme nager et marcher, sont la base d'un look dynamique », confie Om Lombard. Jason Luk-Hang : Une facette de sa personnalité Jason Luk-Hang, la vingtaine, est étudiant à l’université. Soigner son look est un élément important dans sa vie. Toutefois, il ne fera pas son look devenir une obsession. « Ce n'est pas exactement une priorité, simplement une facette de ma personnalité et une attitude... Personne n'est parfait mais je fais de mon mieux pour m'améliorer, m'apprécier et éviter les fautes de goût », rétorque Jason. Pour lui, « ma devise, c’est de toujours être au top quelles que soient les circonstances. Je suis tout le temps très minutieux, avec un style assez particulier. J’aime bien faire le buzz et faire en sorte qu'on me remarque », explique le jeune homme. « Cela peut paraître narcissique, mais je fais en sorte d'aimer l'image que je projette dans le miroir », dit-il.  Pas de produit esthétique, Jason aime le naturel, les produits naturels, des faits-maison. « Par contre, je vais chez le coiffeur dès que possible, changer de coupe de cheveux de temps en temps, cela fait du bien et rend moins banal. Aussi changer de couleur chaque mois », explique Jason. Soigner son look nécessite des efforts. Or, Jason ne fait aucun régime. « Les régimes sont inutiles, je suis mince donc, j'ai été gâté à ce niveau... Mais un peu de musculation, quand même, pour être en forme », déclare notre interlocuteur. Shayeen Elahee : le look est primordial `Soigner son look équivaut à avoir une bonne santé. Shayeen Elahee en est catégorique, car c’est son domaine. « Les gens vont suivre le modèle. On est obligé, piégé par son image. On est intolérant si on se laisse aller. Si je grossis, j’ai des remarques méchantes, désagréables. Et quand je regagne mon poids, les bons commentaires fusent. Le corps vieillit mais l’âme non. Si on fait l’effort, on prolonge sa jeunesse », déclare Shayeen, directrice d’un institut de beauté et d’une école de formation. Les efforts sont accompagnés par des privations tantôt au niveau de la nourriture tantôt au niveau des loisirs. « Pendant le temps de loisirs, on se consacre au gym. Ce qui ne peut être fait périodiquement mais tout au long de sa vie. La gym permet non seulement de garder la taille mais aussi de garder le cœur. Le cœur rajeunit, plus de stamina et une meilleure circulation sanguine », dit-elle. Elle poursuit dans sa lancée, en disant ceci : « A quoi cela sert d’avoir une jolie peau, de jolis cheveux si on a la peau qui pend ? Ce sont les exercices qui raffermira le corps ». Dix minutes de cardio et une heure de body-building trois fois par semaine, accentué d’un régime alimentaire avec 100 grammes de protéines et moins de carbohydrates, c’est la recette. Pour une peau radieuse, Shayeen explique qu’une hydratation de la peau est importante. Plus on monte en âge, plus il nous faut une bonne hydratation. Dès 40 ans, on applique une crème hydratante deux fois par jour et au-delà de 50 ans, trois fois par jour, il nécessite aussi un masque d’hydratation une à deux fois par semaine. Fadwa El Bounani : Avec de l’huile d’argan Fadwa El Bounani Soo­kharry est une mère comblée. Avec l’arrivée de son bébé, il y a deux mois, elle garde la forme et essaie de retourner à sa taille d’avant la grossesse. Elle est une jeune femme qui vit en toute simplicité. Soigner son look est important pour Fadwa. « Il faut garder mon look bien et être toujours belle. Mais pour toutes les femmes aussi, c’est important, surtout après le mariage et après l’accouchement », commente Fadwa. Après son accouchement il y a deux mois de sa petite fille Rania, Fadwa s’adonne à la marche et un sport léger à la maison. En termes de soin esthétique, la jeune maman opte pour le naturel. « Pour mon visage, je fais un masque avec de l’huile d’argan. Et pour mon corps aussi. Une fois par semaine, je fais un hammam, c’est-à-dire un gommage avec du savon noir mélangé avec du henné. Après on se rince avec de l’eau chaude. Pour ensuite utiliser un gant pour enlever les peaux mortes », explique Fadwa. Cette astuce aide aussi à enlever les vergetures de la grossesse. Cette jeune Marocaine mariée à un Mauricien rapporte l’huile d’argan de son pays, là où il est pur sans être mélangée. Les chirurgies esthétiques en hausse Pour se faire belle ou beau, beaucoup sont ceux qui ont recours aux chirurgies esthétiques. Comme le témoigne le Dr Purnima Aiyer, Plastic and Cosmetic Surgeon à l’hôpital Apollo Bramwell. “ Les gens sont plus conscients de leur image. Ils cherchent tous les moyens pour améliorer leur look. Dans la même foulée, pour paraître plus jeunes », déclare le médecin. Les chirurgies qui sont fréquemment exécutées sont dans le visage pour le botox, le rembourrage,le  lifting du front, du visage et du cou,  l'élimination des poches au niveau des paupières et la peau flasque et la difformité de la vallée des larmes. Pour les seins, il y a l'hypertrophie mammaire avec des implants, bien que des injections de graisse deviennent également populaires. Le soulèvement des seins est une autre chirurgie qui est très en demande pour les seins tombants. Dans l'abdomen, la peau flasque et les muscles relâchés, après l'accouchement par césarienne en particulier. La liposuccion pour les dépôts de graisse sur les hanches, les cuisses et les bras. Purnima Aiyer déclare que la demande est majoritairement de la gent féminine. « La demande provient plus des femmes que des hommes. La fréquence de ces chirurgies ne peut être comptabilisée. Le prix dépend de la complexité de la procédure et de la place sur le corps où la chirurgie aura lieu », explique-t-elle. La psychologue Mushiirah Khodabux « Trop d’importance au look » > Autrefois, on ne voyait pas tant l'importance du look... C’est surtout grâce aux médias - de plus en plus de publicités à la télé (même au milieu des films), des panneaux de publicité. Tout cela nous influence, et (1) nous donne envie à faire/être/agir exactement pareil, et (2) nous donne envie d’essayer – on pense que cela coûtera rien d’essayer, mais aussitôt que nous entrons dans ce monde, nous y sommes piégés. Il y a aussi le ‘Peer pressure’. On nous force un peu la main aussi. Si on ne fait pas comme les autres, on sera rejetés. C’est comme le terme ‘majority rules’. Avant, les jeunes ne travaillaient pas – les parents ne leur laissaient pas. Alors ils n’avaient pas d’argent pour s’acheter tout ce qu’on veut pour soigner son look. Maintenant même les adolescents travaillent pendant les vacances. > Quelle tranche d'âge est la plus affectée? A l’âge de la puberté. C’est la période où on sort de l’enfance à l’adolescence. Tout change (le physique, la manière de penser et d’agir). Les jeunes sont plus conscient de leur look, conscients de la façon comment les autres les verront. Et ils se comparent beaucoup aux autres. Il y a aussi le désir de tout le temps ressembler à l’autre (leurs idéaux sont les mannequins sur les photos de publicité) ou à vouloir faire plus que l’autre (entrer en compétition). > Peut-il être dangereux? Oui. Des fois. On donne trop d’importance au look – on peut dépenser trop sur son look et se retrouver endetter. (1) on perd la notion d’être simple et jolie/beau, et (2) on développe une sous-estimation de soi qui peut affecter chaque partie de notre vie. On se sentira plus bien dans notre peau et on sera toujours frustré si notre look n’est pas à la hauteur. > Comment soigner son look sans tomber dans l'extrême? Premièrement, il faut savoir se contrôler, connaître ses limites.  Il faut toujours regarder les bons et les mauvais côtés avant de prendre une décision à propos de son look. Avoir cette attitude: la simplicité c’est la beauté. > Si une personne tombe dans l'extrême, comment y remédier? Beaucoup de soutien de la famille, des amis et de compréhension. Il faut leur montrer que nous les aimons et que nous nous soucions d’eux. Il faut aussi être patient avec eux. Il est primordial de leur montrer les conséquences si on continue à être dans cet extrême.

Om LOMBARD for DEFI Quotidien : VALENTINE DAY 14/2/2012 – MAURITIUS

Il y a amoureux et amoureux ! Certains sont tout feu, tout flamme, d’autres plus tièdes, d’autres attendent encore. Et si on allait les rencontrer ?

Que représente la Saint-Valentin pour les Mauriciens ? Comment la célèbre-t-on ? Nous avons posé la question à quelques personnages familiers de notre décor 'people'. Om Lombard, mannequin, boulanger bio-organique et homme d'affaires, Jacques de Maroussem, homme de scène et directeur de La Maison Euréka, Karen Nicolini, mannequin, Giovanna de Lucerno, mannequin et étudiante en Lettres, Manjula Kumari Boojharut, avocate, et Ameeksha Dilchand, Miss Mauritius 2012. Pour vous, c'est un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ou pas du tout ? Om Lombard : A la folie tous les jours car aimer, c'est aimer un peu... tout le temps ! Sans vouloir casser l'ambiance, entre les cadeaux, les fleurs et autres restaurants, je pense que les romantiques comme moi font de parfaits clients pour la fête du business ! Jacques de Maroussem : Un peu... Karen Nicolini : A la folie ! Giovanna de Lucerno : A la folie...  Parce que même si je n'ai jamais vraiment vécu une histoire d'amour, je continue de regarder le monde avec plein de rêves et d'espérer que mon Prince charmant viendra sans trop me faire languir. Manjula Kumari Boojharut : En toute franchise, pas trop. Ameeksha Dilchand : Pas du tout ! Je ne célèbre jamais la Saint-Valentin. Je trouve que c'est futile de croire qu'on peut démontrer son affection en une journée. Vous économisez votre amour 364 jours pour vous lâcher le jour J ? Ou vous dépensez toute l'année et vous arrivez au dîner la fleur aux dents ? Om Lombard : Je ne me lâche jamais, j'ai peur du vide (rires) ! En fait, je ne suis pas un adepte de cadeaux tels qu'ils sont aujourd'hui définis. Je préfère un bouquet de fleurs chargé d'amour à un bijou sans âme acheté à la va-vite. Jacques de Maroussem : Avec une fleur des champs ! Karen Nicolini : J'économise et je me lâche le jour J. Plus on attend, mieux ç'est ! Giovanna de Lucerno: Pourquoi prouver son amour un jour dans l'année quand on peut le faire tous les jours ? L'amour est un jeu de suspense quotidien où on doit être généreux et sans cesse surprendre et émerveiller l'être aimé. Manjula Kumari Boojharut: J'économise pour acheter utile ! Ameeksha Dilchand : Je préfère les poches vides et la fleur. La fleur représente tout même si elle n'a pas la même valeur que celui d'économiser toute l'année, mais elle reflète davantage l'affection et l'attention. Romantique passionné... Ou passionné déjà mais la romance, on verra après ? Om Lombard : Les deux sont fortement liés dans mon cas. La passion, tant physique que cérébrale est le carburant de la romance ! Bonne Saint-Valentin à tous et à toutes ! Jacques de Maroussem : Passionné toujours ! Karen Nicolini : Romantique passionnée ! Giovanna de Lucerno: Je suis d'abord quelqu'un de passionné qui a besoin de toucher chaque chose du bout de l'âme. J'ai besoin d'aimer entièrement, de vivre l'idylle mais je suis aussi très fleur bleue. J'aime les dîners aux chandelles et les chansons d'amour mais le romantisme peut parfois lasser manque de surprise et d'imprévus. Manjula Kumari Boojharut : La passion est à la base de tout sentiment et le reste suit en temps et lieu… Ameeksha Dilchand : Passionnée oui mais trop occupée pour la romance en ce moment. L'amour est beau et magique et j'espère le rencontrer le plus vite possible afin d'être fière de faire savoir que j'ai rencontré ma merveilleuse moitié. Parce que je sais que j'aurais fait le bon choix ! Joyeuse Saint-Valentin !