Om LOMBARD’s Models: Giovanna de LUCERNO’s Cover and Full Page for Le Défi – 20/8/2013 – MAURITIUS

Le Mannequinat, c'est un mélange d'Expression Artistique, de Rigueur, de Travail Acharné et... De Chance! Atteindre ses objectifs passe par de nombreux chemins, parfois mal balisés , ou il n'est pas facile de se faire un nom et surtout de trouver l'équilibre rare entre TRAVAIL QUALITATIF et RÉMUNÉRATION à sa juste valeur. Giovanna, encadrée par Om LOMBARD Models depuis ses débuts, avance à grands pas et progresse régulièrement dans ce petit monde fermé mais si riche! Croire en soi, respecter les autres et le travail, et surtout ne JAMAIS BAISSER LES BRAS...! Om LOMBARD INTÉGRALITÉ de l'article du Défi du 20/8/2013 par Thierry LÉON : Giovanna de Lucerno, c’est plus qu’un nom. C’est d’abord un visage. Mannequin, elle voue une vraie passion pour son métier. Elle est surtout une des rares à lui rendre ses lettres de noblesse. Une silhouette longiligne et une taille de guêpe ! Ce ne sont là que quelques-uns des nombreux atouts de Giovanna de Lucerno. Derrière ses yeux pétillants se cache une brune qui a du caractère et un talent fou. L’histoire débute en France. Née dans la région parisienne, la petite fille d’alors y a grandi, mais elle a aussi vu autre chose que la Tour Eiffel. « J’ai effectivement grandi en France. Mais j’ai aussi eu l’occasion de visiter plusieurs petites îles », se souvient-elle. Et aussi loin qu’elle se souvienne, elle a toujours eu un penchant pour la scène. « Petite, les podiums m’ont toujours attirée. Si ce n’était pas pour y défiler en tant que mannequin, je me voyais bien y jouer la comédie dans un théâtre », nous raconte cette étudiante en immobilier à La Réunion. L’adolescente opte finalement pour l’univers des strass et des paillettes. La mode étant devenue son dada, elle décide de se faire mannequin. Ses contacts lui permettent de faire quelques apparitions sur le catwalk. Gagnant en expérience, la jeune femme se met sérieusement au mannequinat, il y a cinq ans. « Mon premier défilé en tant que mannequin averti, c’est pour la collection de Nalini Aubeeluck. C’était une expérience très enrichissante, qui m’a permis d’avoir davantage confiance en moi-même. Tout cela n’aurait peut-être pas été possible sans l’encadrement d’Om Lombard et son agence. Je suis également très fière de travailler pour lui. » Sa confiance en elle contribuera aussi à lui décrocher d’autres contrats et une multitude de défilés. « J’ai enchaîné plusieurs défilés et prêté mon image aux nombreuses séances photos. Par exemple, je suis l’égérie de la boutique Taf’ta. J’ai également posé pour India Vogue et j’ai défilé pour des collections de bijoux. J'ai fait quelques apparitions dans des films indiens et dans le clip ‘Li tourné 2013’ d’Alain Ramanisum et Dj Assad et Willy William. » Cependant des contrats, elle n’en signe que ceux qui correspondent à son éthique. « Je signe uniquement des contrats qui sont en ligne avec ma philosophie de la vie. Par exemple, je ne vais jamais prêter mon image pour une campagne de fastfood, moi qui suis une ambassadrice des aliments bio. Je ne vais pas non plus poser dans des vêtements qui viendront dénigrer l’image de la femme. Dans ce métier, je me fais toujours un devoir de ne pas accepter n’importe quoi. » Sans donner de leçon, Giovanna encourage également les autres mannequins mauriciens à en faire autant. « Certaines jeunes femmes ont besoin d’argent pour subsister. Elles acceptent n’importe quel contrat et le fait d’être faiblement rémunérées. C’est là une exploitation qui est monnaie courante dans la profession. Pour que cela cesse, il faut que ces jeunes femmes exigent d’être payées correctement par rapport au contrat qu’on leur offre. Parce qu’il faut savoir que le mannequinat est tout sauf un métier facile. » En effet, pour son métier, Giovanna ne lésine pas sur les moyens. Ainsi, quand elle ne défile pas, elle bouquine et surfe sur la Toile pour être la professionnelle avec qui on aime travailler. « Quand je ne suis pas sur scène, je passe mon temps à faire des recherches. Quand on me donne un thème, j’arrive rapidement à me l’imprégner. Le photographe est ravi, ce qui me permet de boucler un ‘shooting’ assez rapidement. Cela a fini par payer parce qu’on fait de plus en plus appel à mes services pour cette raison. » Et quand Giovanna ne défile pas, on la retrouve soit à faire de la course à pied ou la cuisine. « Il faut dire que je croque la vie à pleines dents et que tout me passionne. Je pratique beaucoup de sport, notamment de course à pied. Je fais aussi du fitness, de la danse. Mais c’est dans une cuisine que j’excelle le plus. Je suis, à vrai dire, une reine des fourneaux. » Et quand on lui parle de son éventuelle reconversion, Giovanna avoue volontiers qu’elle restera sur la scène aussi longtemps que possible. « C’est vrai, je suis encore très jeune. J’ai encore beaucoup à apprendre et à partager. Ainsi, le mannequinat et moi, c’est une histoire qui ne va certainement pas s’arrêter en si bon chemin. » Souce: -http://www.defimedia.info/defi-quotidien/dq-defi-zen/item/37351-giovanna-de-lucerno-princesse-du-catwalk.html -http://www.omlombard.com/om-lombard-shooting-of-li-tourner-2013-international-clip-of-a-ramanisum-dj-assad-w-william-with-om-lombards-team-ol69-162013-mauritius/